Je suis présidente du festival Le Dernier Rang depuis la fondation de l’OSBL en 2019. Tricoteuse depuis un très jeune âge, j’en suis devenue passionnée en 2016.
Étant une personne organisée, je suis celle qui achète généralement de la laine en ayant un projet en tête. Je suis aussi l’amie tricoteuse qui connait le « stash » de ses tricop
Je suis présidente du festival Le Dernier Rang depuis la fondation de l’OSBL en 2019. Tricoteuse depuis un très jeune âge, j’en suis devenue passionnée en 2016.
Étant une personne organisée, je suis celle qui achète généralement de la laine en ayant un projet en tête. Je suis aussi l’amie tricoteuse qui connait le « stash » de ses tricopines!
Mon projet coup de cœur est mon chandail Withmoor qui a été tricoté avec les laines Léa Flora. Une coupe parfaite, une douceur sans pareil!
Ce que j’aime le plus du tricot, c’est de se laisser porter par les designeurs et découvrir des constructions ou des techniques différentes. Essayer de nouvelles bases de laine de la plus douce à la plus rustique. Voir des étoiles dans les yeux des personnes à qui j’offre des tricots!
Mon souhait pour le festival est de voir cette étincelle chez les participants et participantes en avril prochain et que la passion de la fibre se transmette un peu grâce à nous!
Je tricote depuis l’enfance. Je suis une acheteuse semi-organisée : je sais exactement ce que j’ai et ce qu’il me faut, mais je continue d’acheter sur un coup de tête de la laine pour laquelle il me faudra trouver un projet ensuite. Et toutes les laines peuvent me plaire, de la fingering à la bulky, la plus luxueuse ou la plus abordable,
Je tricote depuis l’enfance. Je suis une acheteuse semi-organisée : je sais exactement ce que j’ai et ce qu’il me faut, mais je continue d’acheter sur un coup de tête de la laine pour laquelle il me faudra trouver un projet ensuite. Et toutes les laines peuvent me plaire, de la fingering à la bulky, la plus luxueuse ou la plus abordable, chacune a son rôle à jouer. Il faut dire que mes projets sont assez éclectiques : je peux passer d’une paire de bas en dentelle à des peluches en acrylique pour mes filles, en passant par un châle ou des lavettes à vaisselle. Nécessairement, je me retrouve à être une tricoteuse multiprojet, qui a presque toujours un ou deux projets entamés en punition quelque part dans un sac. Mon projet boulet par excellence : la finition. Une fois tricoté, mon projet s’en va direct dans le bac des projets dont je vais rentrer les fils et que je vais bloquer… bientôt… promis! Mon défi pour l’année à venir : rentrer les fils et bloquer mes projets de l’année dernière (ou peut-être même de celle d’avant?).
M’étant remise au tricot depuis environ 2 ans, je compense mes années sans tricot par l’achat compulsif par coup de cœur au lieu de par projet et en étant assez multiprojets! J’ai un gros faible pour les laines un peu rustiques des Brebis du Beaurivage ainsi que pour la palette de couleur de Paule, la teinturière derrière Urso. Je crois
M’étant remise au tricot depuis environ 2 ans, je compense mes années sans tricot par l’achat compulsif par coup de cœur au lieu de par projet et en étant assez multiprojets! J’ai un gros faible pour les laines un peu rustiques des Brebis du Beaurivage ainsi que pour la palette de couleur de Paule, la teinturière derrière Urso. Je crois que si je peux me donner un défi tricot pour l’année à venir (mis à part aller au plus grand nombre de festival laineux au Québec possible…) ce serait de tenter la technique du steek, à suivre pour voir si je m’y risquerai..
Lorsque j’étais enfant, je regardais ma mère tricoter avec une grande curiosité. Lorsque j’ai eu 6 ans, ma poupée a hérité de mon premier foulard au point mousse. Le tricot a toujours fait partie de ma vie, mais il est devenu incontournable depuis une dizaine d’années. Sur mes aiguilles, il y a toujours une ou plusieurs paires de chausse
Lorsque j’étais enfant, je regardais ma mère tricoter avec une grande curiosité. Lorsque j’ai eu 6 ans, ma poupée a hérité de mon premier foulard au point mousse. Le tricot a toujours fait partie de ma vie, mais il est devenu incontournable depuis une dizaine d’années. Sur mes aiguilles, il y a toujours une ou plusieurs paires de chaussettes et un projet de mitaines, de tuque ou de chandail. Je suis une tricoteuse de processus «multiprojets» qui travaille de façon plus assidue sur son projet favori du moment. J’adore explorer de nouveaux points et de nouvelles techniques. Malheureusement, je traine quelques « projets-boulets », dont deux châles provenant de calendriers de l’avent que je n’ai jamais terminés et deux ou trois paires de chaussettes délaissées… Au cours de la prochaine année, j’aimerais tricoter quelques chandails et avoir le courage de faire un cardigan avec la méthode du « steek ». Tricoter quelques rangs chaque jour est essentiel à mon bonheur et à mon équilibre mental.
Mon défi est de résister à l’achat d’un bel écheveau de laine fingering teint à la main puisque ma réserve de laine déborde. J’ai tendance à acheter par coups de cœur plutôt que par projet. J’ai une nette préférence pour la laine teinte par nos talentueuses teinturières québécoises. Les festivals laineux sont un supplice de Tantale pour moi. La prochaine édition du festival Le dernier rang me mettra à rude épreuve…
À ce que je me souvienne, la passion pour le tricot a toujours fait partie de ma vie. Je ne me souviens plus très bien à quel âge j’ai commencé à tricoter, je devais avoir 10 ou 11 ans. J’ai tricoté mon premier chandail à l’âge de 16 ans avec des manches à balai qu’un de mes oncles avait transformés en aiguille à tricoter!
En règle génér
À ce que je me souvienne, la passion pour le tricot a toujours fait partie de ma vie. Je ne me souviens plus très bien à quel âge j’ai commencé à tricoter, je devais avoir 10 ou 11 ans. J’ai tricoté mon premier chandail à l’âge de 16 ans avec des manches à balai qu’un de mes oncles avait transformés en aiguille à tricoter!
En règle générale, je ne suis pas une acheteuse compulsive, je prends le temps de réfléchir, il faut que j’aie un coup de cœur pour l’achat de ma laine. Comme, je ne fais pas souvent d’achat compulsif, je n’ai donc pas un très gros « stash ». Je n’ai pas non plus de marque ou de fibre chouchou, malgré que le suri est une laine que j’aime bien. Je me range du côté des tricoteuses monoprojet, mais il m’arrive parfois d’avoir un gros projet et une ou deux paires de bas en marche en même temps.
Dans mes tricots de chandails ou châles, j’aime bien les défis, comme la dentelle ou la brioche. Par contre, pour les bas, je suis assez conservatrice. Je ne suis pas non plus de celles qui déterminent plusieurs projets à l’avance, je préfère me laisser tenter par les envies du moment.
Je suis une acheteuse compulsive à la base, mais j’ai appris à contrôler mes achats et à bien réfléchir à ce que je DOIS acheter contre ce que je VEUX acheter! Ma fibre préférée est le BFL. Mon dernier coup de cœur est la base BFL Gotland des laines Mailles à part, que j’ai achetée au Festival de la P’tite laine.
Je traine malheureusemen
Je suis une acheteuse compulsive à la base, mais j’ai appris à contrôler mes achats et à bien réfléchir à ce que je DOIS acheter contre ce que je VEUX acheter! Ma fibre préférée est le BFL. Mon dernier coup de cœur est la base BFL Gotland des laines Mailles à part, que j’ai achetée au Festival de la P’tite laine.
Je traine malheureusement un projet boulet depuis 2020 (j’ai un peu honte!). Ce sont les Alizée socks de mon amie Genièvre. Le design est super (comme la designer!), la laine est parfaite (Pied bleu, de Bleu Poussière), mais des bas en dentelle… Ouf! En contrepartie, je suis particulièrement fière de mon châle Find your Fade d’Andrea Mowry. L’agencement des couleurs a été réfléchi pendant plusieurs mois. Je suis aussi très fière de mon cardigan Symbiose de Tricot Design MCL.
Ça me prend du temps à me décider sur un projet, et je détricote encore souvent! Mais je n’ai pas de problème à laisser une erreur dans un tricot. J’ai plusieurs projets en cours, mais je finis toujours par n’en tricoter qu’un seul à la fois. J’ai toujours un projet de bas en réserve, au cas où.
Pour l’année à venir, j’ai comme objectif d’apprendre la brioche pour me faire un beau châle. Je suis aussi en train de tricoter un bas qui nécessitera de faire un talon après coup, ce qui sera une première également.
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